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Historique

Mandrianus

L’origine du nom de la commune remonte au VIème siècle lorsque Mandrianus et Flavianus, deux illustres soldats saxons de l’armée des Ostrogoths, vinrent se réfugier sur « L’Isle de Sépet » où ils vécurent en ermite jusqu’à leur mort.

Au VIème siècle, Six Fours, La Seyne, l’île de Cépet ne formaient alors qu’un seul territoire. En 1657, La Seyne-sur-Mer obtient son indépendance communale.

Le village, appelé aussi le « Cros Saint-Georges » commence à prendre forme et devient alors une section de la commune-mère La Seyne.

En 1670, on construisit l’infirmerie royale Saint-Louis remplacée en 1818 par l’hôpital maritime de Saint-Mandrier. Tout au long des siècles, la vie à Saint-Mandrier va être intimement liée aux événements se déroulant dans la rade. La Marine Nationale y tient une place prépondérante. Par la création en 1936 de l’école des mécaniciens et, en 1971, du Centre d’Instruction Naval (désormais le Pôle Ecoles Méditerranée) le plus grand de la Marine Nationale qui instruit de 8 000 à 10 000 élèves par an.

En 1950, Saint-Mandrier-sur-Mer devient la plus jeune commune et la plus petite du Var (512 hectares).

 

 

Bibliographie :

  • Revue de presse 1914/1918 : Ken Nicolas
  • Revue de presse 1960/1970 : Ken Nicolas
  • Saint-Mandrier terre d’accueil : Gisèle Argensse
  • Saint-Mandrier sur mer – 1/2 siècle d’histoire : Gisèle Argensse
  • L’Aéronavale et Saint-Mandrier : Claude Pisano
  • Une vie d’arpète : Pascal Dupond
  • Saint-Mandrier « contribution à l’histoire de la localité et hôpital militaire » : Bérenger Feraud
  • Mémoire et observations sur le choléra observé à l’hôpital de Saint-Mandrier : P. Ackermann

il existe également diverses revues militaires qui font référence à Saint-Mandrier .

Filmographie :

  • 1964 : « l’Age ingrat » de Gilles Grandier
  • 1965 : « Pierrot le fou » de Jean Luc Godard
  • 1968 : » Le petit baigneur » de Robert Dhery
  • 2001 : « Une fille dans l’azur » de JP Vergne
  • 2007 : « Enfin veuve » d’Isabelle Mergault